NOVAK DJOKOVIC part en Australie. Le Serbe bénéficie d’une « exemption médicale » pour voyager et jouer l’Open d’Australie.
L’arrivée de Novak Djokovic sur le territoire australien est en train de se transformer en une véritable saga politico‐sanitaire. Bloqué depuis plusieurs heures à l’aéroport Tullamarine de Melbourne à cause d’un problème de visa, le joueur serbe serait traité comme un véritable criminel.
les propos des médias
En effet et d’après les informations d’au moins deux médias serbes, B92 et le Telegraf, Novak Djokovic serait retenu depuis plusieurs heures dans une pièce gardée par deux policiers tout en ayant l’interdiction d’interagir avec son équipe présente sur place ou même d’utiliser son téléphone portable.
L’AFP vient de confirmer que l’Australie a annulé le visa de Novak Djokovic. Le numéro un mondial, sauf nouveau rebondissement, ne pourra pas jouer l’Open d’Australie
Alors qu’il pensait avoir eu les autorisations nécessaires pour jouer l’Open d’Australie, le N°1 mondial s’est vu refuser son visa d’entrée car il ne présenterait pas les garanties sanitaires suffisantes. Une décision définitive est attendue dans les prochains jours. Quelle histoire !…
Novak Djokovic jusqu’au bout
Le numéro 1 mondial dont le visa a été refusé devait donc rentrer chez lui mais le Serbe a décidé de ne rien lâcher. Il a donc entamé une procédure « judiciaire » pour faire valoir ses droits et pourquoi pas être « réintégré » dans le « tournoi ».
La procédure engagée l’oblige déjà à rester au moins jusqu’à lundi. D’ici là, les avis vont se multiplier sachant que personne ne peut nier que le « cafouillage » a été total ce mercredi.
De son côté Tennis Australie toujours aussi « fair play » a exigé que la décision finale devait être prise avant mardi pour des raisons de programmation.
Le juge chargé de l’affaire a précisé que ce n’est pas Tennis Australia qui allait dicter le timing.
Pour rappel, et d’après le très sérieux quotidien The Age, l’exemption médicale reçue par le numéro un mondial a été accordée en raison d’une contamination au virus au cours des six derniers mois, l’un des quatre critères requis pour obtenir cette dispense.
AFFAIRE A SUIVRE !!!